Geneviève Emond
Ph.D (Éducation), MA (Danse), BEd
Facilitatrice, formatrice et consultante en éducation intégrale et inclusive
Je détiens un doctorat en éducation portant sur la corporéité des enseignants. Il fait suite à l’obtention d’une maîtrise en danse et en éducation somatique. En formation initiale, j’ai complété un Bachelor en éducation pour l’enseignement des langues secondes (UMcGill), ainsi que des diplômes post-grade en droits humains et droit à l’éducation (Genève) et en journalisme (Lausanne).
Tout au long de mon parcours, j’ai en outre suivi plusieurs formations continues dans les champs de l’éducation somatique, du mouvement, de la danse et du théâtre/voix, ainsi que sur la conduite de processus participatifs, inclusifs et d’intelligence collective.
En tant que tout, ces expériences constituent le fondement de mon approche pédagogique vers la transformation individuelle et sociale.
Je maîtrise le français, l’anglais, l’espagnol et l’allemand.
Pour la thèse et le mémoire: Recherche.
Avec mon entreprise MUZA, depuis 2003, je participe à l’enrichissement d’offres d’éducation et de formation, dans une perspective intégrale s’appuyant sur l’expérience d’apprentissage tout au long de la vie.
J’enseigne dans des contextes professionnels et universitaires, je soutiens des projets de cohésion d’équipe et de vision stratégique, en plus d’offrir de l’accompagnement individuel et en groupes de pairs, en pratique privée.
Mon regard sur l’être humain procède de l’interne vers l’externe, avec une priorité donnée à l’ancrage corporel de l’expérience.
Je voue un profond respect à l’être humain.
Je souhaite aider à révéler ses beautés et ses potentiels.
Je crée des espaces de mise en mouvement en nous et entre nous, favorisant une participation active – et souvent rafraîchissante – aux transformations individuelles et sociales en cours.
Au fil des ans, j’ai collaboré au développement de projets éducatifs et sociaux divers avec des enseignant.e.s, des décideur.e.s des systèmes scolaires, des travailleur.e.s des secteurs sociaux et de la santé, des universitaires, des parents et des jeunes, dans de multiples contextes et milieux de pays du Nord et du Sud. J’ai par exemple dirigé la mise sur pied d’un projet d’évaluation de bonnes pratiques en éducation (citoyenneté, cohésion sociale et interculturel) pour le BIE de l’UNESCO, présenté aux ministres de l’éducation et accompagné la création de l’Institut KIUNA, Cégep pour les étudiant.e.s autochtones au Québec (Odanak), en coordonnant notamment les travaux d’élaboration des programmes: Histoire.
Mon expérience variée avec les systèmes d’éducation m’offre aujourd’hui une vision d’ensemble sur le fonctionnement global des réseaux éducatifs et sociaux. Cette polyvalence nourrit ma réflexion sur comment ces systèmes pourraient être améliorés ou transformés afin de mieux répondre aux besoins des enfants, des jeunes, des êtres humains d’une part et, d’autre part, d’avoir une influence à la fois sur la justice sociale dans notre monde et le développement de sociétés qui assurent un avenir viable à tous niveaux. Selon moi, cette transformation s’effectue par l’enrichissement de la présence de chaque personne, en particulier des enseignant.e.s et des intervenant.e.s en éducation et en formation, mais aussi des leader.e.s et des gestionnaires et décideur.e.s.